🔄

🚚 Livraison OFFERTE en France | 🎁 10% avec le code WSK10

0

Votre panier est vide

FÊTE DES PERES
Profitez de 30% OFFERT sur votre prochaine commande avec le code : FATHERDAY !*

*Nous vous recommandons de commander avant le 5 juin pour une livraison le jour J au plus tard.

Le Boulevardier : cocktail au whisky à tester absolument

mai 21, 2025 2 min de lecture

Illustration d’un cocktail

Quels ingrédients pour préparer un boulevardier digne de ce nom ?

  • 3 cl de vermouth rouge (idéalement un vermouth doux)
  • 3 cl de campari, cette liqueur amère mythique
  • 3 cl de whisky bourbon (ou un bon rye si vous aimez les notes plus sèches)
  • 1 gros glaçon ou plusieurs glaçons classiques
  • 1 tranche orange ou un zeste d’orange en garniture

Le matériel nécessaire pour un cocktail boulevardier sans faute

  • 1 verre à whisky carré
  • 1 cuillère de bar ou cuillère à mélange
  • 1 verre à mélange si vous êtes puriste

Préparation : directement dans le verre ou avec plus de soin ?

  1. Dans un verre à mélange rempli de glace, verser le vermouth rouge, le campari et le bourbon.
  2. Mélanger doucement avec une cuillère de bar pendant 20 secondes.
  3. Filtrer le cocktail dans un verre old fashioned avec un gros glaçon.
  4. Décorer avec une tranche orange ou un zeste expressé sur le dessus.
Conseil : choisissez un whiskey de caractère comme Monkey Shoulder, et servez-le dans un verre old fashioned bien épais pour que le gros glaçon fonde doucement sans diluer la saveur du cocktail.

Une variante du Negroni au caractère bien trempé

Le Boulevardier, c’est un peu le cousin barbu du Negroni. Remplacez le gin par du whiskey (ou bourbon) et vous obtenez un cocktail à base de force, de douceur, et d’amertume parfaitement dosée. Moins floral, plus chaud, plus boisé : l’américanisation d’un classique italien.

Harry McElhone, Erskine Gwynne et un bar à Paris

Le cocktail boulevardier est né dans les années 20 dans le New York Bar devenu Harry’s à Paris. Le nom vient du magazine “Boulevardier” lancé par l’expatrié américain Erskine Gwynne, amateur de vermouth et de Campari. C’est d’ailleurs Harry McElhone qui l’a immortalisé dans ses recueils.

Le saviez-vous ? Ce long drink a traversé les âges sans jamais prendre une ride. Il séduit aujourd’hui les amateurs de cocktails complexes à la base de bourbon avec une touche d’élégance parisienne.

Laisser un commentaire

Les commentaires sont approuvés avant leur publication.